Le ravalement étant obligatoire tous les 10 ans, anticiper les travaux et le budget nécessaire s’avère indispensable. La préparation diffère cependant selon qu’il s’agisse d’une maison individuelle ou d’une copropriété et ce, par rapport aux procédures administratives. Le choix du revêtement de la façade doit également être pensée à l’avance afin de préparer le devis y afférent. Celui-ci émanera d’un professionnel RGE de préférence, qui réalisera les prestations selon les règles de l’art pour des résultats durables et une finition de qualité. Tous les renseignements sur www. harmonie.fr.
Organiser le ravalement de sa maison individuelle
Dans un premier temps, il est préférable de se rendre directement auprès de la commune afin de s’enquérir des différentes étapes à suivre et éviter les pertes de temps. Ce, sachant que les réglementations diffèrent d’une commune à l’autre. NB : le ravalement de façade d’un bâti classé patrimoine historique est soumis à des dispositions spécifiques ; la commune ou le service d’urbanisme qui y est rattaché vous en dira également plus à ce sujet.
Une déclaration préalable de travaux sera ensuite effectuée et déposée auprès de la mairie. L’accord de cette dernière n’est pas nécessaire pour débuter les travaux, sauf s’il s’agit d’un patrimoine historique.
Quelles préparations pour le ravalement d’une copropriété ?
Tous les copropriétaires se réunissent en assemblée générale pour décider unanimement des dispositions relatives au projet de ravalement. Le syndic de propriété se rend avant tout à la mairie de la commune pour recueillir toutes les informations nécessaires et ce, avant la tenue de l’AG. Le syndic se procure également plusieurs devis qu’il présentera au cours de cette réunion. Un dossier de déclaration préalable est ensuite remis à la mairie au nom de la copropriété et les travaux ne débuteront qu’après accord de cette dernière.
Notons que tous les travaux réalisés sur une copropriété, dont le ravalement, seront consignés dans un carnet d’entretien. Celui-ci archivera le type et l’année de réalisation des travaux, le nom des prestataires intervenus, les différents contrats et factures ainsi que d’autres pièces pouvant être consultées ultérieurement par les copropriétaires au besoin.
